9. Les fichiers de configuration au format XML

Un fichier de configuration est un exemple assez trivial d'utilisation du XML. Un fichier de configuration consiste quasi toujours en un jeu de paires clef/valeur. Les fichiers de configuration un peu élaborés utilisent des systèmes de blocs, chaque bloc portant un nom. Ces blocs peuvent même parfois être imbriqués. Cela définit, tout comme en XML, une structure arborescente, où la clef est constituée des différents noms de blocs suivi du nom de la clef elle-même.

Un fichier de configuration court mais générique peut donc être de ce style:

 1 <?xml version="1.0" ?>
 2 <configuration>
 3     <clef1>valeur1</clef1>
 4     <chemin1>
 5         <chemin2>
 6             <clef2>valeur2></clef2>
 7             <clef3>valeur3</clef3>
 8         </chemin2>
 9     </chemin1>
10 </configuration>

La lecture d'un tel fichier se fait exactement de la même manière que le test des permissions ci-dessus. La requête XPath pour récupérer valeur2 est "/configuration/chemin1/chemin2/clef2/text()". Reprenez le code ci-dessus, et simplement, pour récupérer la valeur, revoyez ce qui précède la ligne 36 pour la consitution du chemin XPath. Puis remplacez la ligne 48 par valeur = node->content;, ou mieux, valeur = strdup(node->content); parce que la valeur a des chances d'être déplacée dans l'arbre ou nettoyée par la suite. Renvoyez la valeur, et le tour est joué.

Pour modifier un fichier de configuration, cela se fait exactement comme les modifications du fichier des permissions. Sa sauvegarde se fait aussi exactement pareil avec xmlDocFormatDump() par exemple.

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